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André : une transition en douceur entre l'uniforme militaire et l'uniforme GardaWorld

Nous vous proposons ici le 2e d'une série de 4 profils d'anciens combattants et de réservistes qui ont réussi leur transition à la vie civile chez GardaWorld.

 

Profil de vétéran: André

Poste dans l'armée: Réserviste, soldat d'infanterie

Poste chez GardaWorld: Sergent en chef de la sûreté portuaire / Officier de contrat pour le Port de Montréal

 

1. Qu'est-ce qui vous plaît le plus dans votre travail chez GardaWorld ?

Depuis 2008, je suis officier de contrat du Port de Montréal après avoir fait 5 ans de patrouille. Comme Sergent en chef de la sûreté portuaire, j'ai vingt patrouilleurs et quinze agents de surveillance qui travaillent pour moi. On a des véhicules d’urgence, des VTTs, des drones et même un zodiac pour faire la surveillance des 23.5 KM de territoire à couvrir. On s'occupe aussi de la gestion de la circulation des milliers de camions qui passent là tous les jours. Ça bouge toujours, et c'est ce que j'aime le plus. Les journées sont toujours différentes.

 

2. Comment votre expérience militaire vous aide-t-elle dans votre rôle chez GardaWorld ?

De 1979 à 1985, j'étais avec les forces armées de réserve et je faisais des contrats avec l'armée régulière. J'étais avec le 4e bataillon du Royal 22e régiment, et j'ai entre autres été déployé en Allemagne en 1980. Mais lorsqu’on monte en grade, c’est de plus en plus difficile d’obtenir des contrats de ce type. Comme dans l’armée, travailler chez GardaWorld demande de la discipline, de prendre ses responsabilités au sérieux, de se donner à fond, et de dépasser les attentes. On se fait confier une mission, et on doit la remplir. Ça prend de la persévérance, de la vigilance. Dépendant où tu travailles, comme dans un édifice à bureaux, tu peux avoir des centaines ou même des milliers de personnes qui comptent sur ta vigilance pour les garder en sécurité. Ça prend du courage aussi, et la confiance qu’on est capable de contrôler la situation et de gérer les urgences, comme dans l'armée.

 

3. Recommanderiez-vous aux anciens combattants et aux réservistes de travailler chez GardaWorld ? Pourquoi ?

C’est certain que je recommande GardaWorld à mes confrères d’arme. Souvent, il y en a qui sortent de là et ils ne savent pas ce qu’ils veulent faire, c’est difficile de se réadapter à la vie civile. Ils vont retrouver ici un encadrement comme ils avaient dans l’armée. L’équipe est bonne, il y a toujours de la formation, ce qui est intéressant. En sortant de l’armée on a une base, ensuite on peut choisir ce qui nous intéresse, ça peut être la sécurité physique, mais aussi autre chose comme les enquêtes par exemple. Il y en a lorsqu’ils quittent l’armée qui trouvent ça dur de ne plus avoir d’uniforme. Chez GardaWorld, c’est une bonne transition parce qu’ils passent d’un uniforme à l’autre. En plus, on retrouve le même sentiment de camaraderie, il y a un peu de la même chimie entre les agents qu’entre les frères d’armes. Et quand on travaille fort, on a des opportunités de grimper les échelons.

 


 

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Découvrez également le profil de Mario, un ancien réserviste devenu chef d'équipe au transport de valeurs.